mardi 10 avril 2012

Résumé depuis le début de la session

Il y a plusieurs semaines, nous sommes revenue des vacances de Noël et nous avons débuté un nouveau cours. Dans le cadre du cours enjeux géographique nous avons mis sur pied un Blog. Le mien avait pour sujet les espèces envahissantes retrouvée au Canada et au Québec. J'ai grâce à ce sujet découvert plusieurs choses. J'ai jusqu'à maintenant aimé travailler sur mon Blog et faire par de mes connaissances nouvelles.

J'espère vous avoir fait découvrir de nouvelle chose et vous avoir fait ouvrir les yeux sur ce problème!

Pour le reste de la session, d'autres articles serons poster et un entrevue fait avec un expert vous sera présenter. J'espère découvrir et apprendre encore plus.

Si vous souhaiter avoir plus de renseignement plusieurs sites son accessible, de plus vous pouvez me faire part de vos questions et j'essayerai d'y répondre le plus rapidement et honnêtement possible. Merci!



Selon plusieurs, le chat domestique serait une espèce invasive vue le nombre retrouvé au Québec

Pour tout les âges!



Durant mes recherche, j'ai mis la main sur un site visant à informer les jeunes. J'ai trouvé le concept très intéressant. Mis sur pied par le gouvernement du Québec, le site suit les aventures de Rafales!

Il y a là une belle occasion d'informer les plus jeunes et de leur faire comprendre l'importance de protégé notre biodiversité et nos lacs et rivières.



http://www.mddep.gouv.qc.ca/jeunesse/chronique/2004/0404-esp-envahissantes.htm




La controverse

Dans la majeur partie des cas, un enjeu possède deux côtés à sa médaille. Par contre, les espèces envahissantes n'ont pas à mes yeux un côté positif. Selon les données trouvées, il n'y a aucun impact positif lorsqu'une espèces invasives vient s'implanter dans un nouvel environnement.


Un seul point de vue persiste, CONTRE! 


Il n'y a aucun bien fait à l'apparition d'espèces envahissantes trouvé. 


La Stratégie cherche à protéger les écosystèmes aquatiques et terrestres du Canada ainsi que leur diversité biologique originale, les végétaux et les animaux contre les risques associés aux espèces exotiques envahissantes.


Plusieurs organismes, groupes et individus travaillent dure pour lutter contre les espèces envahissantes au Canada et au Québec. Chacun s'entraide à trouver des nouveaux moyens et des méthodes efficaces pour lutter contre ces petits indésirables qui viennent adopter notre climat québécois. Cette lutte, nous pousse donc à s'entraider et à faire preuve d'entraide les uns envers les autres.

Toute c'est effort sont déployés dans le but de réduire les risques que posent les espèces envahissantes pour l'environnement, l'économie et la société.



Spécimen de tanche récolté à l’été 2010 dans le lac Saint-Pierre en Mauricie, ©Patrick Gagnon



Source:
http://www.invasivespecies.gc.ca/francais/view.asp?x=1
http://www.ec.gc.ca/eee-ias/Default.asp?lang=Fr



Joignez-vous  au organisme et lutter contre cet enjeux malheureux qui est bien présent au Québec! Garder votre écosystème tel qu'il a été crée.

jeudi 23 février 2012

Les principaux Acteurs


Pour essayer de combattre les espèces invasives quelques acteurs sont impliqués. Qu’il s’agisse d’individus ou de groupe c’est personne ont plusieurs rôles à jouer et plusieurs objectifs à atteindre. Voici donc quelques organismes qui oeuvrent pour la lutte contre l'introduction et la propagation d'espèces exotiques envahissantes.


Jardin botanique de Montréal 
www2.ville.montreal.qc.ca/jardin/jardin.htm

Nature-Action Québec
www.nature-action.qc.ca

Association régionale des aquariophiles de Québec (ARAQ)
www.araq.org

La Société d'Aquariophilie de Montréal
www.aquasam.qc.ca

Aquaquébec
aquaquebec.net

Union Saint-Laurent Grands Lacs
www.usgl-glu.org


Colonie de roseau commun sur l'Île des soeurs, boisée Saint-Paul, Montréal (Québec). Olivier Peyronnet (04.2005). La prolifération de ces "grandes tiges beiges surmontées d'un plumeau se laissant bercer par le vent" menacerait les milieux humides et les écosystèmes sensibles du Québec



Il existe déjà plusieurs projets mis en en œuvre pour diminuer l’expansion des espèces invasives tant aquatique, mammifère ou végétal.

Différentes actions ont été entreprises dans certains grands parcs de la Ville (parcs-nature de l’Île-de-la-Visitation, du Bois-de-Saraguay, du Cap-Saint-Jacques, de Pointe-aux-Prairies, du Ruisseau-De Montigny et sur le mont Royal) dans le but de contrôler et d’éradiquer les plantes envahissantes jugées les plus préoccupantes. À terme, ces projets de restauration et de valorisation de la biodiversité en milieu urbain offriront aux visiteurs des grands parcs de nouvelles perspectives paysagères et une richesse des écosystèmes à découvrir lors de leur visite. Ces initiatives de contrôle et d’éradication, auxquelles succèdent des plantations adaptées en fonction du milieu et en vue de contrer le retour des plantes indésirables et de rétablir la biomasse, contribueront aussi à documenter les méthodes et leurs succès dans la lutte aux plantes envahissantes et pourront servir de référence pour d’autres lieux ou organismes qui souhaiteraient intervenir.
 

Des actions peuvent également être posées par les citoyens afin de limiter, d’une part la propagation d’espèces envahissantes présentes dans les aménagements paysagers vers les milieux naturels, d’autre part éviter leur prolifération. La protection de la biodiversité montréalaise passe entre autres par la contribution des citoyens dont les petits gestes auront des effets à l’échelle du territoire montréalais.

Les acteurs de la biodiversité à la Ville de Montréal
            Bureau du Mont-Royal
            Environnement
            Nature en ville
            Muséums Nature Montréal 
            Réseau des grands parcs



Pancarte de sensibilisation aux espèces aquatiques envahissantes installée
à la
marina de Aylmer http://abv7.org/album-photos.php?task=view&id=6



Plusieurs slogant ou publicité ont été crée dans le but de nous faire réfléchir. 
Tel est le cas du slogant du site web de l’agence bassin versant des 7.


NE TRAÎNER PAS VOS BIBITTES DE LAC EN LAC !!


Par contre, l’un des PRINCIPALE acteurs reste le citoyen lui même. En respectant les recommandations donnés!


Environnement Canada est lui aussi un acteur important qui vient en aide à la lutte contre les espèces envahissante au Canada. À ce jour, 143 projets contribuant à lutter contre la menace que représentent les espèces exotiques envahissantes ont été approuvés au Canada, ce qui représente un financement total de près de 4,6 millions de dollars.

L'union St-Laurent et Grands Lacs vient lui aussi en aide à la lutte contre les espèces envahissantes aquatiques voici les coordonnées  pour rejoindre l'union à Montréal.

Union Saint-Laurent Grands Lacs
                                                          1555-A avenue Papineau Montréal 
Québec, H2K 4H7
Téléphone : (514) 396-3333


Vous êtes un agent et vous vous devez d'agir!


vendredi 17 février 2012

Le Saviez-Vous?

Selon le site d'environnement Canada, 
http://www.ec.gc.ca/stl/default.asp?lang=Fr&n=F6863336-1


Une espèce végétale envahissante est une espèce dont l'introduction ou la propagation menace l'environnement, l'économie ou la société, y compris la santé humaine. Elle peut être indigène, lorsqu'elle croît naturellement dans un milieu sans intervention humaine, ou exotique lorsqu'elle a été introduite dans un milieu hors de son aire de répartition naturelle par l'intervention humaine.


Voici 6 espèces végétales envahissante les très répandus au Québec:



La Salicaire commune (Lythrum salicaria)

Les conséquences de leur invasion



Qui dit nouveauté, dit aussi changement et changement rime avec conséquence. Une fois arrivé au Québec et bien décidé à s’y établir, les espèces invasives apportent avec elles leur lots de conséquences. Parfois économiques, écologiques et même sociales c’est impacts viennent bouleverser notre Québec.


Dans plusieurs endroits, les impacts causés par les espèces invasives sont très importants. On dit alors qu’il représente la deuxième menace mondiale pour la biodiversité. Le problème avec nos envahisseur c’est qu’une fois arriver dans son nouvel écosystème il devient pratiquement impossible pour l’homme de les déloger. C’est pourquoi il vaut mieux prévenir que guérir. La prévention est donc la meilleure stratégie pour lutter contre c’est petit envahisseur qui cause d’énormes problèmes.

Selon le ministère des ressources naturelles et de la faune il y a 3 types d’impact relié directement aux espèces envahissantes.


ÉCOLOGIQUE – ÉCONOMIQUES – SOCIAUX


D’un point de vue écologique nous retrouvons la dégradation des écosystèmes, la modification de la structure de la composition des communautés, on parle ici de la prédation ou de la compétition avec les autres espèces déjà existante dans le milieu et d’une perte des fonctions des écosystèmes bénéfiques aux humains.

Du côté de l’économie, les coûts associés aux dommages et au contrôle des envahisseurs et assez grand. Pour lutter contre les EEE on investie 5% du PBI dans le monde, 7,5 milliards au Canada et de 200 millions de dollars dans la région des grands lac. Tout cet argent, uniquement pour lutter contre les espèces invasives aquatiques. Imaginer si nous calculons les mesures mises en place pour lutter contre les espèces aquatiques, mammifères et végétales.

Dans un contexte plus sociale les EEE viennent compromettent les emplois liés à l’exploitation d’espèces indigènes. Aussi elles menacent la santé des humains ou de d’autres espèces animales.


Exemple de conséquence du au espèces invasives de type animal ou végétale :

-       Les milieux naturels sont menacés par l’envahissement d’espèces végétales étrangères parce qu’elles viennent modifier la composition, la structure et les fonctions des écosystèmes
-       La petite corbeille d’Asie a une immense capacité de filtration qui contribue à diminuer l’abondance du phytoplancton dans la colonne d’eau. Elle entre ainsi en compétition directe avec les autres espèces de moules filtrantes (Unionidae) et elle peut entraîner une modification dans la chaîne alimentaire.
-       Cause des déséquilibres dans les habitats facilement, et peut s’établir rapidement dans de nouveaux milieux.
-       Il représente un compétiteur et un prédateur potentiel
-       Le poisson carassin peut mettre en suspension des sédiments qui augmentent la turbidité du milieu et empêchent la croissance des plantes.

Vue de profil de C. fluminea (petite corbeille d'asie) permettant de voir
le siphon (© AQUARIUS - Pascal Stucki, 2008)


Ceci n’est que 4 petits exemples de conséquence qu’apporte les EEE. Pour avoir accès à d’autres espèces une recherche rapide sur Google vous aidera à trouver d’autres espèces qui viennent menacer nos écosystèmes.

Nous nous devons donc de sensibiliser la population à limiter l’introduction et la propagation des espèces envahissantes 

Les causes des espèces invasives au Québec



Premièrement saviez-vous que l’on retrouve au Québec plusieurs espèces qui ne viennent pas de chez nous ? Savez-vous que la coccinelle asiatique, l’agrile du frêne, l’étourneau sansonnet, la moule zébrée et le gobie à tache noire ne proviennent pas d'ici mais d’autre pays parfois très éloigné (France, Allemagne, Chine) ?

Originaire de l’Ohio, l’écrevisse à taches rouges est une espèce vorace qui a entraîné la disparition de certaines plantes
dans les lacs qu’elle a envahis,
©Doug Watkinson, ministère des Pêches
et des Océans de l’Ontario

Les espèces exotiques envahissantes (EEE) comme plusieurs les appellent peuvent être sous forme d’espèce aquatique, mammifère ou végétale. Le problème avec ces espèces s’est qu’elles sont souvent néfastes sur notre biodiversité, notre économie, notre santé et nos emplois.

Mais alors, d’où proviennent tels ? Pourquoi sont tels arrivées ici, au Québec et pourquoi dit-on qu’elles sont envahissantes ?

Il existe une cause principale à leur invasion.

Cette cause demeure sans aucun doute l’homme lui même. Alors qu’il voyage d’un bout à l’autre de la terre, l’humain rapporte avec lui parfois beaucoup plus que de simple souvenir de voyage ! La mondialisation et la multiplication des échanges commerciaux avec l’étranger à elle aussi grandement favoriser leur apparition dans nos belles rivières et beaux paysages Québécois.

Prenons comme exemple, la moule zébrée, une espèce invasive aquatique très préoccupante au Québec. Celle-ci provient d’Europe, plus précisément de la région ponto-caspienne. Sa présence fût remarquée en Amérique du Nord en 1986. Bien que la moule puisse elle même se déplacer via les courants d’eaux, l’apparition de la moule zébrée en Amérique et causé par l’humain. Les larves sont invisibles à l’œil nu, elles peuvent facilement se trouver dans l’eau des viviers, dans les seaux de poissons appâts, dans l’eau qui reste dans la cale du bateau et dans le système de refroidissement des moteurs. Elles peuvent donc être transportées clandestinement par les navires, les plaisanciers et les pêcheurs d’un plan d’eau à l’autre. D’ailleurs, on croit que l’espèce est arrivée dans les eaux des Grands Lacs lors des opérations de vidange des eaux de lest des transocéaniques dans le lac Sainte-Claire. Les jeunes moules et les moules adultes peuvent aussi être propagées d’un plan d’eau à l’autre en se fixant sur les embarcations, les remorques à bateaux ou sur tout autre véhicule ou objet immergé, et même, sur les pattes ou les plumes des oiseaux.

Les moules zébrées attachées à un bivalve indigène peuvent compromettre sa survie.
©André Martel, Musée canadien de la nature.


Ainsi, on voit très bien que l’homme est la cause première de leur envahissement.

Il y a de cela plusieurs années, les espèces envahissantes étaient beaucoup moins nombreuse dut au fait que les gens voyageaient moins donc rapportaient moins de ‘’cadeau indésirable’’ dans leur baguage. La mondialisation, comme mentionner plus haut fut un point tournant dans leurs apparitions. Les gens ne réfléchissent pas avant de mettre quoi que se soit dans leur valise. Le problème s’est qu’une fois arriver au Québec il perde le contrôle et l’espèce prend rapidement de l’expansion, elle s’adapte et se modifie pour réussir à passer  au travers de notre climat (4 saisons).

Liste rapide des causes physiques non intentionnelle pour plusieurs espèces.

-       Transport maritme transocéanique
-       Transport maritime (État-Unis , Québec)
-       Introduits volontairement durant une certaine période
-       Dépassés par la taille et l’appétit vorace de leur animal de compagnie, relâchent des spécimens encore vivants dans les milieux naturels
-       Se seraient échappés de leur enclos ou bassin
-       Avec l’aide de d’autre espèces



Ces espèces venu nous envahir apporte avec elles plusieurs problèmes et cause de graves impacts sur plusieurs aspects de notre vie. Alors garder l’œil ouvert la prochaine fois que vous irez en voyage et laisser vos charmants  petits amis dans leur biodiversité ;) !!






Source: http://www.mrnf.gouv.qc.ca/faune/especes/envahissantes/